La fuite des cerveaux et la communication interculturelle2
La fuite des cerveaux n'est pas un échec
C'est là un fait qui passe inaperçu.Il faut noter que le cadre migrant qui part à la quête d'autres horizons cherche à honorer son pays qui "exporte" des compétences multisectorlelles qui constitueront indéniablement une valeur ajoutée aux pays d'accueil.
Le phénomène est à repenser
C'est une source de richesse, levier d'une nouvelle dynamique d'échanges et de partenariat entre les pays du nord et les pays du sud.Il faudrait alors revoir les politiques de collaboration et de coopération pour un développement durable sans frontières.
Pour la mise en place d'une instance de développement international
Il est des devoirs de ces cadres migrants ,soutenus par les pays bénéficiaires,de penser à mettre en place un organisme en réseaux pour chercher à promouvoir une politique de coopération au service des pays donnateurs de cerveaux.
Une question d'éthique et d'équité
Il est impensable que des cadres qui quittent leur pays ne soient pas en mesure de rapporter à leur pays d'origine une valeur ajoutée en retour.La responsabilité incombe également aux pays d'accueil.
Pour un ordre mondial plus juste
On constate que beaucoup de cadres qui vont dans des pays étrangers sont mal reçus ou sont exposésà certains comportements qui entravent leur insertion,bien que le pays d'accueil les sollicite pour la dynamisation de leur économie.Ce constat est observable même entre deux pays développés.